L’exposition Forces naturelles proposait une réflexion sensible sur les relations entre le corps, les éléments naturels et les dynamiques de transformation.

Solène Goget y explorait les liens entre le corps humain et l’eau, perçue comme un espace de dilution, de soin, et de renouvellement.
Ses sculptures organiques et textes immersifs invitaient à une écoute fine du vivant — une perception qui passe par la peau, le souffle, le silence.

Dans cet univers sensoriel, l’eau devenait un élément réparateur, un milieu d’expérience à la fois intime et symbolique du corps vécu.

Christelle Samson présentait un installation avec un blob et des formes de vie naturelles, à travers des installations mêlant matière vivante, observation et métamorphose.

Naomi Dagnet proposait une approche graphique et vidéo du cyclone, entre mouvement chaotique et énergie atmosphérique

L’ensemble de l’exposition tissait des liens entre art, écologie, perception incarnée et puissances invisibles, révélant la force discrète mais profonde des forces naturelles.